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Description |
Images d'archives : émeutes de la faim en Égypte en avril 2008, champ de blé, riz, boulangerie en Afrique, sécheresse, scènes de rue en Chine, vaches dans une exploitation agricole, moissonneuses batteuses, maïs, fabrication d'éthanol, agriculture, Bruxelles, agriculture en Afrique ITW de Philippe Chalmin, professeur d'économie à l'Université de Paris-Dauphine Il explique qu'il était plus simple pour un pays en développement de nourrir ses villes à partir de céréales importées que de financer une politique agricole et de subventionner ses propres producteurs. Images d'archives : distribution alimentaire en Egypte subventionné par l'Union Européen, alimentation en Afrique Carte de l'Europe, indication par pays du pourcentage de baisse de la contribution à l'aide développement (- 16 % pour la France, - 30 % pour le Royaume-Uni) PL Façade du parlement européen DP un homme dans son bureau du parlement européen, regarde la couverture du magazine "Jeune Afrique" dont le titre est "Le choc alimentaire" ITW de Louis Michel, commissaire européen au développement et à l'aide humanitaire Il dit que les aides aux développements financent l'éducation, la santé, une meilleure administration, des infrastructures. Il explique que l'Europe est le premier donateur du monde, représente 56 % de l'aide mondiale. Il dénonce les états membres et alerte sur les conséquences mondiales d'une diminution des aides. Images d'archives : parlement européen, champ de blé, agriculture ITW Jean-Christophe Bureau, professeur d'économie à l'INRA Il explique que la France y voit une bonne raison pour continuer à avoir une politique agricole très ambitieuse, qui va encourager beaucoup la production, pour exporter et répondre à la demande alimentaire mondiale et aussi pour des raisons de sécurité, d'approvisionnement de l'Europe. Il dit que le Royaume-Uni tire des conclusions assez opposées, veut se débarrasser de la PAC, et propose la libéralisation des échanges. Images d'archives : scènes de rues en Afrique
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