Zoom Europa n°122 . Pays-Bas : à quoi sert Europol ?

Description
Cote ZOE 122 3
Fonds Zoom Europa
Titre Pays-Bas : à quoi sert Europol ?
Titre du parent Zoom Europa n°122
Durée 00:05:30
Date de production 28/10/2009
Générique Journaliste : Sesquin Jérôme
Production Producteur : Compagnie des Phares et Balises
Mot clé Lieux : Hollande, La Haye, France
Index : renseignement, drogue, Trafic de drogue, trafic, Scène de rue, Coopération, Union Européenne, police
Son Sonore
Résumé Depuis 1999, l’Europe s’est dotée d’une police européenne, Europol. L’une de ses principales missions est le combat contre la drogue. Ses missions : opérations de lutte contre la criminalité liée à la drogue. Europol c’est un budget annuel de 66 millions d’Euros, 612 salariés dont 118 agents de liaison représentants les polices, les douanes, les gendarmeries et les services d’immigrations des 27 Etats membres. Est-ce suffisant ? Les capacités d’Europol sont loin de celle du FBI américain. L’agence ne mène pas d’actions sur le terrain, c’est un centre de renseignements et de coordination. A quoi sert Europol? Quelles sont ses limites? Enquête au siège d’Europol, à la Haye, lors d’une réunion des Ministres de la Justice et de l’Intérieur européens.
Description EXT/JOUR
PANO GD Tramway à La Haye
DP Pancarte et Drapeau "Europol"
INT/JOUR
DP un homme et une femme descendent dans le sous-soul du bâtiment d'Europol
ITW de Robert Hauschild, chef de l'Unité Drogues, Europol
Il montre à la caméra une presse à cocaïne que l'on trouve dans les laboratoires clandestins en Europe
Zoom avant Presse à cocaïne
DP Tubes à essais, photographies de pilules
ITW Michel Quillé, directeur adjoint, Europol
Il dit qu'un état membre peut avoir un renseignement sur un réseau de trafic de stupéfiants mais il n'a pas la vision globale du réseau. Il explique qu'Europol a pour mission de centraliser l'information et de faire apparaître les liens entre les différents pays et donc de fournir aux états membres un service presque clé en main pour pouvoir démanteler l'ensemble d'un réseau.
DP un homme travaille devant son ordinateur
ITW Jean-Dominique Nollet, chef de l'unité analyse, Europol
Il explique qu'avec le logiciel qu'il utilise, on peut déterminer de la manière la plus scientifique possible de quelle manière il faut arrêter des gens qui permettent d'avoir un groupe qui est démanteler le plus longtemps possible. il montre un graphique sur l'écran qui représente une visualisation de 5000 communications téléphoniques dans un groupe criminel organisé.
EXT/JOUR Nanterre
DP façade d'un bâtiment appartement au Ministère de l'intérieur
INT/JOUR
DP un homme marche dans un couloir, pancarte "office central des stupéfiants", un homme montre à la caméra une photographie d'un bateau qui transportait 3 tonnes de cocaïne
DP différentes drogues exposées dans des vitrines
ITW de Jean-Michel Combani, directeur, Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants
Il raconte qu'il y a toujours une réticence des pays à donner des informations aux autres mais que maintenant on réfléchit en terme de coopération
EXT/JOUR
GP Pancarte "Europol"
INT/JOUR
ITW de Xavier Raufer, criminologue
Il dit qu'Europol est un embryon de police européenne qu'il y a eu des progrès mais que ce n'est pas à l'échelle des problèmes qui se posent. Pour lui Europol n'a ni les renseignements ni les moyens pour agir efficacement.
EXT/JOUR
DP le commissaire d'Europol interviewé par des journalistes, le commissaire et 27 ministres (hollandais ?) prennent la pose dans l'enceinte d'Europol
ITW Jacques Barrot, vice-président de la Commission européenne, responsable pour Justice, Liberté et Sécurité
Il dit qu'Europol devient une agence et à ses pouvoirs étendus notamment sur ce qui concerne le crime transfrontalier. Il dit que jusqu'ici beaucoup d'états membres sous-estimaient la capacité d'expertise d'Europol mais aujourd'hui selon lui tout ça est en train d'évoluer.
GP Logo "Europol"
PM deux hommes signent des documents
EXT/JOUR LA HAYE
DP cyclistes